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Véritable créateur et novateur, fuyant l'académisme et "l'explication" propres à la planète "psychologie", Etienne PERROT nous invite à nous mettre à l'écoute de nos songes, de notre profondeur, à découvrir "SA GAIE SCIENCE" avec un langage direct, un vocabulaire poétique puisé dans le monde de l'Alchimie, un amour sincère, une grande proximité, et des expériences uniques utilisant le média "radio".
6 commentaires:
Bonjour,
J'ai"découvert" Etienne Perrot en 1981, après son émission sur Fran-Inter. Sa perception des rêves a éveillé quelque chose de très fort en moi.J'ai eu des échanges épistolaires avec lui, plusieurs fois : il m'invitait à aller le voir à Paris, mais j'ai eu peur du "non retour". Votre site fait ressurgir en moi une attente très forte. Je vis en Bretagne et je souhaiterais échanger sur des rêves anciens et non résolus. Je "blogue" pour la première fois... Kersol56
Bonjour et BIENVENUE !
J'ai tout comme vous été très touchée par l'aventure, le risque, l'expérience qu'Etienne PERROT avait osé lors de le série d'émissions autour de des rêves.
Concernant votre souhait à propos de vos rêves , je vous renvoie vers la Fontaine de Pierre qui pourra vous orienter : http://lafontaine.depierre.free.fr/
Amicalement
Cpatricia
Ce château d’eau m’a aussitôt rappelé ce rêve admirable reçu par une personne juste avant de venir voir Étienne Perrot.(Mystique de la terre, p.77 – Éditions La Fontaine de Pierre)
« Je vais chez E.P. avec ma machine à laver pour y faire ajouter de l’eau. En arrivant dans son bureau, je vois que la bibliothèque qui tapissait les murs a disparu. Elle est remplacée par un alignement de machines à laver disposées sur le parquet. Il y a une grande faille qui traverse tout le plafond en son milieu. Des rigoles en partent en étoile et descendent le long des murs pour aboutir aux machines à laver. L’eau y ruisselle et vient remplir les machines. »
D’autre part, ayant lu le commentaire de Kersol56, le mot de passe qui m’est demandé pour pouvoir publier mon propre commentaire retient mon attention.
Ce mot est « keralask ». Blogger parle-t-il breton lorsque des bretons frappent à sa porte ? Peut-être uniquement sur ce blog dédié à la parole d’Étienne Perrot, enfant de Bretagne…?
Or keralask est l’anagramme de ar klask, dont le sens est la quête, la recherche. De plus, ker a lask, très proche de ker a laosk, pourrait s’entendre comme : le lieu qui relâche, le lieu du lâcher prise, ou celui de l’élargissement (laosk : large, mou, relâché)
La quête n’est possible qu’au prix d’un abandon et celui-ci peut effrayer, c’est certain.
Amezeg
P.S. dit en passant, le breton ‘amezeg’ (à prononcer :amézek) signifie : ‘voisin’
P.P.S. keraslask est plus précisément l’anagramme de er klask avec l’article er (le, la, les), équivalent en breton vannetais de l’article ar pour le reste du domaine bretonnant. Dans celui-ci, er a pour sens : dans le, dans la, dans les ; ce qui donne alors er klask : dans la quête. Nuances qui, je le reconnais, ne parleront peut-être qu’à un bretonnant, en particulier s’il est du domaine vannetais comme semble l’être kersol56.
Le sens de l’à propos de blogger m’a frappé…à tel point que j’en ai fait une copie d’écran pour mémoire…ou pour me convaincre que je n’avais pas eu la berlue !
Amezeg :-)
bonjour Amezeg !
Mon pseudo est en effet composé du début de mon nom, et de mon prénom.En plus mon nom de naissance est "Le Breton"..Je suis Bretonne pur beurre.J'habite dans la région Lorientaise, et je savais qu'Etienne Perrot était d'Audierne.
Je ne suis pas bretonnante (mon père l'était)mais j'aime bien trouver le sens du Breton dans les noms de famille et les toponymes.
Je ne suis pas très familière avec les blogs mais je vais essayer de m'y mettre.. Kenavo.
Bonjour kersol56,
J’aime, moi aussi, trouver le sens des patronymes et toponymes bretons. Une langue est bien un héritage profondément inscrit en nous, même lorsqu’elle n’est plus pratiquée au quotidien. « Finalement nous ne valons que par l'essentiel, et si on n'y a pas trouvé accès, la vie est gaspillée. » affirme C.G.Jung ( "Ma vie" chap. XI), mais cet accès à l’essentiel et à l’universel demande sans doute que l’on se reconnaisse également dans sa particularité, dans sa limitation, sans y demeurer enfermé. Il n’est pas d’arbre sans racines... et dans notre petit far-west côtier les plus fortes plongent en terre entre suroît et noroît.
Kenavo :-)
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